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Date de création :
07.04.2010
Dernière mise à jour :
12.04.2010
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Par invention, le 13.04.2010
Un adolescent, hospitalisé dans un état critique après avoir été fauché par un chauffeur poids-lourd qui conduisait sous l'influence du cannabis, est décédé. Les faits se sont déroulés lundi matin dans les Yvelines. Le conducteur est en garde à vue.
Un jeune homme de 15 ans, percuté lundi matin de plein fouet par un poids-lourd dans les Yvelines, a succombé à ses blessures. Il avait été hospitalisé dans un état critique à l’hôpital Beaujon de Clichy (Hauts-de-Seine).
Les faits se sont déroulés à Gargenville en fin de matinée. L'adolescent traversait la chaussée lorsque le camion l'a fauché. Le conducteur du poids-lourd aurait indiqué sa présence avec l'avertisseur sonore en voyant le jeune homme traverser au feu vert. En vain. Le jeune garçon n'aurait rien entendu en raison des écouteurs de son MP3.
Lors des contrôles de stupéfiants, le conducteur a été déclaré positif au cannabis, précise le quotidien. Il a été placé en garde à vue au commissariat de Mantes-la-Jolie. D'autres tests sont prévus pour confirmer ou infirmer ces résultats.
Samedi 10 avril 2010, 15h43
Des inscriptions insultant le pape Benoît XVI, actuellement dans la tourmente des scandales pédophiles, ont été peintes dans la nuit de vendredi à samedi à Malte sur des affiches annonçant sa venue prochaine dans l'île, a constaté samedi un journaliste de l'AFP.
Quatre des dix affiches géantes, installées principalement le long des grands axes routiers pour annoncer la visite du pape les 17 et 18 avril, ont été vandalisées, a indiqué à l'AFP un porte-parole de l'épiscopat maltais, Kevin Papagiorcopulo, précisant qu'elles allaient être remplacées.
Condamnant ces actes de vandalisme, sur lesquels la police a ouvert une enquête, le porte-parole a estimé qu'ils "ne diminuaient pas du tout la signification de la visite du pape dans l'île", soulignant "l'enrichissement spirituel que cette visite pourrait apporter à toute la société maltaise".
Cet incident intervient alors que viennent d'être révélées à Malte des affaires de pédophilie impliquant 45 prêtres depuis 1999.
Sur certaines affiches, l'inscription "pédophile" en maltais est inscrite à côté de la photo de Benoît XVI; sur d'autres, le pape est affublé de moustaches à la Hitler peintes en noir. Sur d'autres encore, a été peint un "pedobear", un petit ours récurrent sur internet qui symbolise la pédophilie.
Créé au Japon et inspiré de la culture manga, "pedobear" apparaît le plus souvent sur des photos de la vie quotidienne, en train d'observer un enfant ou surgissant derrière un élément du décor.
Il y a deux semaines, une des victimes présumées d'abus sexuels par des prêtres dans un orphelinat de Malte, Lawrence Grech, 37 ans, avait écrit au pape pour lui demander de présenter des excuses auprès des victimes de son pays à l'occasion de sa visite sur l'île.
Lors de son voyage, le premier à l'étranger depuis le début du scandale, le pape doit rendre visite au président de la République maltaise, George Abela, et célébrer le 18 avril une messe en plein air à Floriana, ville où selon la tradition Saint Paul a été accueilli après son naufrage.
Plus petit Etat de l?Union européenne, Malte est un pays à très forte majorité catholique (98% des 410.000 habitants).
Pts | J | G | N | P | bp | bc | +/- | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Marseille | 59 | 30 | 17 | 8 | 5 | 54 | 30 | 24 | |
2 | Montpellier | 58 | 32 | 17 | 7 | 8 | 43 | 36 | 7 | ![]() |
3 | Lyon | 57 | 31 | 16 | 9 | 6 | 51 | 32 | 19 | ![]() |
4 | Auxerre | 57 | 31 | 16 | 9 | 6 | 31 | 25 | 6 | |
5 | Bordeaux | 56 | 30 | 17 | 5 | 8 | 48 | 28 | 20 | |
6 | Lille | 54 | 31 | 16 | 6 | 9 | 56 | 33 | 23 | |
7 | Rennes | 50 | 32 | 14 | 8 | 10 | 47 | 32 | 15 | |
8 | Lorient | 50 | 32 | 14 | 8 | 10 | 47 | 33 | 14 | |
9 | Monaco | 49 | 32 | 14 | 7 | 11 | 34 | 34 | 0 | |
10 | Paris Saint-Germain | 44 | 32 | 12 | 8 | 12 | 46 | 35 | 11 | ![]() |
11 | Valenciennes | 44 | 31 | 13 | 5 | 13 | 42 | 43 | -1 | ![]() |
12 | Toulouse | 42 | 32 | 11 | 9 | 12 | 34 | 29 | 5 | ![]() |
13 | Nancy | 42 | 31 | 12 | 6 | 13 | 40 | 44 | -4 | ![]() |
14 | Lens | 38 | 32 | 10 | 8 | 14 | 30 | 38 | -8 | ![]() |
15 | Sochaux | 37 | 31 | 10 | 7 | 14 | 23 | 40 | -17 | ![]() |
16 | Nice | 36 | 31 | 10 | 6 | 15 | 31 | 45 | -14 | ![]() |
17 | Saint-Etienne | 35 | 32 | 9 | 8 | 15 | 24 | 38 | -14 | |
18 | Boulogne-sur-Mer | 24 | 32 | 5 | 9 | 18 | 23 | 54 | -31 | |
19 | Le Mans | 22 | 31 | 5 | 7 | 19 | 28 | 50 | -22 | |
20 | Grenoble | 15 | 32 | 3 | 6 | 23 | 21 | 54 | -33 |
Un incendie d'origine criminelle a en partie détruit une école de Clayes-sous-Bois, dans les Yvelines, dans la nuit de vendredi à samedi. Luc Chatel a évoqué un "acte inqualifiable" tandis que les parents d'élèves se disent choqués et en colère.
Dans la nuit de vendredi à samedi, l'école primaire Victor-Hugo a vu son second étage complètement détruit par un incendie d’origine criminelle. Soixante sapeurs-pompiers ont été mobilisés pour combattre le sinistre qui s'est déclaré vers 3h dans cet établissement située rue Pablo-Neruda, Clayes-sous-Bois, dans les Yvelines.
Le bureau de la directrice a été sauvé ainsi que la partie administrative. En revanche, le réfectoire a été totalement détruit ainsi que quatre salles de classe, a précisé l'officier.
Sur place samedi matin, les parents s'activaient pour sauver les derniers livres ainsi que les tables et les chaises épargnés par les flammes. "Je me rendais ce matin à la réunion préparatoire à la kermesse de fin d'année, explique Frédérique Leproust, quand un papa m'a dit +Y a plus d'école+".
La déléguée des parents d'élèves s'est dite "sonnée, choquée et en colère par cet acte inadmissible". "Comment peut-on s'en prendre à une école comme celle-ci où le projet pédagogique était important ? C'est incompréhensible", a-t-elle déclaré. Plus loin Dalila Bragier, la maman de la petite Inès porte une caisse de livres. Elle réagit : "C'est l'état de choc. Depuis un an on signale des incendies dans le quartier. On était attaché à cette école".
Le maire de Clayes-sous-Bois, Véronique Coté-Millard, a exprimé sa vive émotion : "On reste sans voix. L'an dernier un incendie avait détruit un bâtiment qui devait servir de centre de loisirs. S'attaquer à une école, c'est inqualifiable. Tout le monde est en émoi ici. Lundi, nous allons accueillir les parents et les élèves. Une cellule psychologique sera mise en place. Il nous faut accompagner les familles".
Dans un communiqué, le ministre de l'Education, Luc Chatel, a "condamné avec la plus grande fermeté cet acte inqualifiable" et assuré "partager la tristesse de toute la communauté éducative". Luc Chatel a enfin "souhaité que toute la lumière soit faite sur les circonstances de cet incendie", ajoutant que "chaque fois que l'école est visée par des attaques de toute forme, ce sont les valeurs mêmes de la République qui sont mises à mal".
Selon les premiers éléments de l'enquête, qui a été confiée à la Sûreté départementale des Yvelines, une porte de l'école aurait été fracturée avant que l'incendie ne se déclare.
Les 194 élèves de l'école doivent être répartis dès lundi dans les autres établissements de la commune.
Un avion, avec à son bord le président polonais Lech Kaczynski, s'est écrasé samedi en Russie. L'accident a fait environ 130 morts, selon le ministère russe des Situations d'urgence. Il n'y a pas de survivant, a indiqué le gouverneur de la région.
Un avion Tupolev 154, avec le président polonais Lech Kaczynski à son bord, s'est écrasé samedi à son atterrissage dans la région de Smolensk, en Russie, a annoncé le porte-parole du ministère polonais des Affaires étrangères, Piotr Paszkowski.
"L'avion a accroché des arbres, il s'est écrasé et a pris feu", a déclaré Piotr Paszkowski à la chaîne de télévision privée polonaise TVN24. L'accident s'est produit "dans la situation d'un fort brouillard", a précisé un responsable du département d'enquête du parquet, Vladimir Markin, cité par l'agence RIA Novosti.
"A son bord, il y avait le président, accompagné de son épouse, le chef de l'état-major, et le vice-ministre des Affaires étrangères Andrzej Kremer", a déclaré le ministère polonais des Affaires étrangères. Le gouverneur de la la Banque centrale de Pologne était également à bord, a indiqué le service de presse de la Banque centrale. Accompagnés de familles d'officiers polonais exécutés il y a 70 ans par la police de Staline, ils se rendaient à Katyn, près de Smolensk, pour se recueillir sur leurs tombes.
L'accident a fait environ 130 morts, selon un membre du ministère russe des Situations d'urgence. "Il n'y a pas de survivants dans la catastrophe", a indiqué le gouverneur Sergueï Antoufiev au téléphone à la chaîne de télévision Vesti-24.
Le président russe Dmitri Medvedev, "immédiatement informé" du crash, a dépêché le ministre des Situations d'urgence Sergueï Choïgou sur les lieux du drame.
Le gouvernement polonais va se réunir en urgence samedi, annonce son service de presse dans un communiqué diffusé après l'accident.
Agé de 60 ans, Lech Kaczynski avait été élu président de Pologne en 2005. Il était membre du parti social conservateur
mettai des com svp
Ce drame familial a eu lieu vendredi dans le Lot. Une fillette en a réchappé en s'enfuyant. La femme a ensuite tenté de se suicider.
Les raisons de son geste sont pour l’instant inconnues. Vendredi en début d’après-midi, à Payrignac dans le Lot, une mère de famille de 48 ans a tué coup sur coup son mari, âgé de 57 ans, puis l’un de leurs fils, âgé de 9 ans.
Sa sœur aînée, une fillette âgée de 10 ans, a quant à elle réussi à s’enfuir à temps. Blessée, elle a pu donner l’alerte en se réfugiant chez des voisins.
La mère de famillea ensuite tenté de se suicider. Elle a été hospitalisée dans un état grave.
Un troisième enfant a réchappé de ce drame familial. Agé de 12 ans, il était en classe au collège au moment des faits. Sa mère lui aurait envoyé un message d’adieu.
mettai des com svp
Les sinistrés s'organisent pour contester collectivement les décisions de l'Etat, qui a annoncé la destruction de 1.510 maisons à la suite du passage de la tempête Xynthia. Le maire de Charron, en Charente-Maritime, a ainsi annoncé vendredi qu'il ne signerait pas les arrêtés d'interdiction d'habiter les maisons concernées dans sa commune.
En Charente-Maritime comme en Vendée, les sinistrés ne comprennent pas "l'arbitraire" de la cartographie et c’est ce qu’ils dénoncent principalement. "Il y a quelque chose de violent sans aucune procédure de concertation. Les préfets ont laissé faire et aujourd'hui ils interviennent dans l'urgence et dans l'émotion", affirme Bruno Kern, spécialiste en droit public et ancien chargé de la mission urbanisme auprès du médiateur de la République.
Thierry Demaegdt, président de l'association "Reconstruire Charron" - la commune la plus durement touchée de Charente-Maritime où quelque 180 maisons devraient être détruites -, estime qu'en dehors de certaines "rues évidentes" d'autres avaient selon lui été classées "arbitrairement en zone noire".
Il a annoncé des recourscontre cette décision "unilatérale, totalitaire et inadmissible" et s'apprête à envoyer une pétition d'un millier de noms à Nicolas Sarkozy. Le maire de Charron Jean-François Faget a annoncé vendredi qu'il ne signerait pas les arrêtés d'interdiction d'accéder et d'habiter les 150 à 180 maisons vouées à la destruction dans sa municipalité.
"On nous a dit que le zonage n'est pas négociable mais on nous a aussi appris que dans certaines communes, on négociait encore puisque certaines zones sont classées orange et n'ont pas encore vu leur avenir tranché", a expliqué l'élu. Jean-François Faget assure qu'il ne signera rien "tant que le contour des zones n'aura pas été négocié". "Si le Premier ministre veut me destituer, qu'il le fasse. C'est à l'Etat de prendre ses responsabilités", a-t-il ajouté.
En Vendée, une cinquantaine d'habitants de La Faute-sur-Mer et de L'Aiguillon-sur-Mer ont déjà contacté un avocat spécialisé en droit public pour entamer une action collective. Leur conseil envisage de contester le bien fondé du zonage. "Attaquer l'Etat en responsabilité me paraît la meilleure des choses pour les sinistrés. Il n'y avait pas une urgence telle pour que l'Etat prenne une décision unilatérale", assure l'avocat parisien Bruno Kern.
Ce n'est pas le principe du zonage qui est contestable mais la façon dont il a été mis en oeuvre, "sans concertation avec les sinistrés et les élus", explique l’avocat. Une procédure qui met à mal "la décentralisation du pouvoir", souligne-t-il, déplorant également qu'il n'y ait pas eu "de véritables études des services de l'Etat sur les risques et les moyens d'y remédier".
Les sinistrés pourraient également saisir la justice de la question de l'entretien des digues et des ouvrages de protection. A Charron par exemple, un projet de reconstruction des 6 km de digues, lancé depuis huit à neuf ans, n'attendait plus que le déclenchement d'une enquête publique, indique Patrick Blanchard, le président du syndicat intercommunal d'aménagement hydraulique du Curé, en charge du dossier.
La préfète hors cadre Françoise Debaisieux a été mise en examen jeudi soir après avoir été placée mercredi en garde à vue dans les Ardennes dans le cadre d'une enquête pour vol à la préfecture de Lozère, où elle était en fonction jusqu'à l'été dernier, a indiqué le procureur de Mende.
AFP
Mme Debaisieux, 55 ans, préfète de Lozère de 2007 à 2009, a été mise en examen pour "vol et détournement de biens publics par personne dépositaire de l'autorité publique", a précisé le procureur de la République de Mende, Samuel Sinielz.
Elle a été placée sous contrôle judiciaire avec interdiction de se présenter dans le département de la Lozère sauf pour convocation judiciaire et interdiction d'entrer en contact avec le personnel de la préfecture, a-t-il ajouté. Une obligation de soin a également été émise par le juge d'instruction.
Son mari a été mis en examen pour recel sans être placé sous contrôle judiciaire.
Elle est accusée d'avoir soustrait des meubles et tableaux du logement de fonction dont elle bénéficiait.
Les vols ont été découverts suite à l'inventaire effectué par le successeur de Mme Debaisieux, nommée à la préfecture des Hautes-Pyrénées l'été dernier.
Mme Debaisieux avait alors déposé plainte pour vol, avant d'être mise en cause par l'enquête, selon le procureur.
Selon une source judiciaire, son ancienne directrice de cabinet à la préfecture de Lozère a également porté plainte pour vol de vêtements.
Une perquisition effectuée au domicile du couple, dans le cadre de l'enquête confiée au SRPJ de Montpellier, a permis de retrouver "un certain nombre d'objets provenant de la préfecture de la Lozère", a indiqué dans un communiqué, le tribunal de grande instance de Mende qui cite notamment la présence de "tableau, lampe, vaisselle, linge de maison".
"Mme Françoise Debaisieux reconnaissait partiellement les faits qui lui étaient reprochés et M. Henri Debaisieux contestait avoir eu connaissance de l'origine frauduleuse des objets", avait ajouté le tribunal avant les mises en examen.
En mars 2010, Mme Debaisieux avait demandé à être nommée préfète hors cadre.
Un jeune homme est mort et 14 autres personnes ont été blessées vendredi dans un incendie sur le campus universitaire de Rangueil à Toulouse.
Le sinistre s'est déclaré à 7 heures du matin vendredi sur le campus universitaire de Rangueil à Toulouse. "Un incendie s'est déclaré au 3e étage de l'immeuble des logements étudiants de l'Institut national de sciences appliquées (Insa). Le feu s'est très vite propagé dans les étages supérieurs, faisant un mort et 14 blessés, actuellement hospitalisés", a indiqué la mairie de Toulouse.
Les causes de l'incendien'étaient pas connues en début d'après-midi. "Quinze chambres ont été entièrement détruites par les flammes et ving-cinq ont été très endommagées", a précisé le maire Pierre Cohen, qui a voulu "s'associer à la douleur de la famille du jeune homme décédé". "Au total, il y a eu une vingtaine de blessés légers, des étudiants incommodés par les fumées", selon un porte-parole des pompiers.
Vers 13h00,le corps du défunt a été retiré du bâtiment sur une civière, portée par cinq employés des pompes funèbres. Un cordon de sécurité a été mis en place autour du bâtiment, dont la façade a été noircie par les flammes.
Quelques dizaines d'étudiants sont réunis en petit groupe aux abords de l'Insa, où régnait une ambiance de tristesse et de consternation dans les couloirs.
Le procureur de la République de Toulouse, Michel Valet, devrait donner plus d'informations plus tard dans la journée. La ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, qui a exprimé dans un communiqué "sa profonde émotion". (source AFP)